IMAGE-MIROIR ou MÉTA-IMAGE
L’origine
L’envie de combiner les images d’une même série de photographies en les assemblant pour créer une »méta-image » m’habite depuis longtemps.
Cette idée m’a même amenée à faire des séries de photos dont le but premier était la création d’une méta-image.
Dernièrement, alors que je travaillais à la préparation de mon portfolio pour SALONESQUE 2015, voulant reproduire l’effet de miroir que j’avais obtenu dans l’opus 8 d’EXPÉRIMENTART, La Caisse de dépôt, j’en suis venu à explorer et à m’approprier ce jeu de miroir.
Le principe
L’assise du principe repose sur la composition et les lignes de force de l’image matrice. Cette image-matrice est démultipliée et désaxée pour ensuite être réassemblée-recollée et ainsi créer la nouvelle méta-image.
La formule peut s’utiliser à l’horizontale comme à la verticale, en diptyque, en triptyque, en quadriptyque.
Et son application
Déjà cette approche permet des formats impressionnants. Ainsi, le format original de GRUES CÉLESTES fait 6 pieds par 4 ( 1,83 m x 1,22 m).
Et cette méta image peut aussi être mise en boucle pour doubler ou tripler sa portée.
Il en résulte alors la possibilité d’une image géante. Par exemple, le format original de «la fenêtre de Saint-Armand» fait 3 pieds de hauteur par 6 de large (91,5 cm x 1,83 m). En la doublant pour l’assembler en boucle, elle atteint 12 pieds de large (3,66 m)
Une image valant mille mots
C’est pourquoi, en toute simplicité, je vous invite à passer au
M.A.I., Montréal Arts Interculturels,
3680, rue Jeanne-Mance, bureau 103,
Montréal (Québec) Canada H2X 2K5
du 21 au 30 mai 2015, de 10 h à 18 h,
pour en juger par vous-même.
Et, laissez-moi vos commentaires: info@francismarin.com